Je m’appelle Simon Morice, j’ai 31 ans et je suis originaire de Passy, en Haute-Savoie. Comme beaucoup d’habitants de cette région, je suis non seulement passionné de sports Outdoor mais aussi de musique, de photographie et de cinéma.

Pendant 3 ans, j’ai vécu aux États-Unis, où j’ai énormément voyagé. Cette expérience a été un véritable déclencheur pour moi. A mon retour en 2019, je me suis senti poussé des ailes pour lancer ma propre activité !

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre projet Simon Morice Media ?

Simon Morice Media est une entreprise de photographie et de vidéo créée en 2019. Sa mission est d’accompagner les entreprises, les particuliers ou les groupes de musique dans leur communication et leur branding. Je travaille principalement pour la photo et la vidéo, mais l’éventail très complet de mes compétences me permet de proposer des solutions uniques à mes clients. Ainsi, je peux aussi prendre la casquette de design Web, de consultant SEO et de marketing. De nature observateur et hyperactif, je me donne à 200% pour satisfaire mes clients.

Quels ont été les challenges depuis sa création jusqu’à aujourd’hui ?

Le premier challenge a d’abord été celui de la crise sanitaire annoncée peu de temps après la création de mon entreprise, Simon Morice media. Le deuxième challenge a été celui des premiers mois un peu difficiles quand on démarre sans être “connu” dans le milieu, le temps que le bouche à oreille se mette en place… Sans oublier le challenge d’être visible sur les réseaux sociaux avec les multiples changements d’algorithme et la forte concurrence dans le monde de la vidéo et de la photo !

Quels sont aujourd’hui vos besoins pour aller plus loin ?

Aujourd’hui je pense que pour aller plus loin, il faudrait qu’on me “connaisse” un peu plus dans la région. Mon activité fonctionne pour le moment surtout au bouche à oreille. Je fais de la prospection commerciale, je travaille mon SEO et mes réseaux sociaux. Ce qui me manque c’est une certaine notoriété ou des références clients qui permettraient aux entreprises de savoir que j’existe, ce que je fais, et la qualité de mon travail.

Comment avez-vous connu le Rezo des Fondus ?

J’ai découvert le Rezo en 2020 peu après avoir lancé mon entreprise. C’est Laurianne Roux, la directrice de la Red Apple School (Argonay) qui m’a parlé de ce réseau Haut-Savoyard. Tous les acteurs du territoire y sont réunis. Le Rezo des Fondus peut m’aider à montrer mon travail aux membres, mettre un coup de projecteur sur mes compétences et potentiellement atteindre ceux qui ont des besoins d’images. Je pense aussi qu’il est enrichissant de travailler en local. Avoir son photographe ou vidéaste à côté de chez soi, c’est un grand avantage et cela réduit les coûts !

Vous êtes candidat au dispositif de soutien Les Fondus ont du Talent, saison #3. Pour quelle(s) raison(s) avoir candidaté ?

La principale difficulté pour mon entreprise, c’est la visibilité et la notoriété, montrer aux acteurs locaux que j’existe. Le dispositif Les Fondus ont du Talent constitue un excellent tremplin pour moi. C’est une belle occasion de mettre en lumière mon savoir-faire et mon entreprise.

Les entreprises font souvent appel à des agences de communication pour leurs projets de communication visuelle (photo, vidéo…). Souvent ces mêmes agences nous passent commande car elles ne disposent pas des compétences en interne. Travailler en direct avec les entreprises et surtout LOCALEMENT permet d’avancer beaucoup plus vite sur des projets, tout en garantissant un travail de qualité.

Le Rezo des Fondus et son dispositif Les Fondus ont du Talent me permettraient donc de faire un grand “coucou” aux entreprises du territoire. Je souhaite leur montrer qu’elles peuvent trouver LOCALEMENT des solutions efficaces pour répondre à leur besoin en images toujours plus exigeant.

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